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25 sols par jour prelevés sur la taxe imposée aux riches, que l’armée de Paris sera portée à 20. mille hommes. Nous demandons que dans toutes les places de la république et sous les yeux du peuple il soit élevé des atteliers occupés à la fabrication des armes de toute espèce afin que tous les Sans-Culotte soyent incessamment armés pour la deffense de leur droit et de leur liberté.

Législateurs, ecoutez enfin les cris, les gémissements des patriotes des départements qui victimes de l’agioteur et des accaparements sont obligés de payer le pain huit, dix, douze et jusqu’à 15 sols la livre et sont condamnés à périr d’inanition et de misère par cette contre révolution qui voudroit les ramener à la royauté par la famine, hatez-vous donc de décréter que partout où la livre de pain exécedera trois sols, le surplus sera restitué exactement à tous les Sans-Culotte à raison de deux livres pesant par teste et que cette dépense sera prise sur les sols additio

Décrétez le prompt désarmement et la mise en arrestation dans toutes les villes de la république des hommes suspects et que les hommes co

C’est dans les sections de la République que les contre révolutio

Le tribunal révolutio

Législateurs, occupez-vous sérieusement des Citoyens malheureux à qui les blessures, la vieillesse ou les infirmités interdisent les travaux pénibles, ouvréz enfin pour eux des atteliers que leur assurent un travail accomodé à leur foiblesse et dont le produit soit moins fixé sur la valeur réelle de ce qu’ils auront fait que sur les besoins qu’ils éprouvent.

Mettez promptement à exécution votre decrét portant l’emprunt forcé d’un milliard sur les riches.

Hâtez vous d’accorder aux épouses, aux mères, aux enfans des deffenseurs de la patrie la juste indemnité qui leur est due par la Nation et que cette dette la plus sacrée de toutes soit incessament acquittée.

Législateurs, épuréz le comité de salut public, épurez le conseil exécutif, chasséz du trône des affaires, les Lebrun les Clavière et cette horde d’agens subalternes dont l’incivisme est co

[*21] Prenez des mesures promptes pour empêcher les patriotes de s’assembler de tomber sous le fer liberticide des contre révolutio

Législateurs, voila les mesures que nous vous proposons nous demandons que vous mettiez aux voix par appel nominal leur conversion en décret.

XI

Нац. apx.

F7 36882.

Feuille des rapports et déclarations faits au bureau de surveillance.

du 25. Juin 1892, l’an 2e de la République.

Nota: Cette feuille a été suspendue pendant quelques jour à cause de l’extrême stérilité des Rapports, mais on est maintenant en état de lui rendre toutte son activité, et l’intérêt dont elle est susceptible.

Plus on murmure contre la chereté des denrées, plus elles augmentent, les Marchands paroissent se plaire à a

On continue de se plaindre des trouppes cazernées dans les environs de Paris, et en partie de la Compagnie des Chasseurs du Midi. On voit avec beaucoup de peine l’insouciance soit des Ministres, soit du Conseil executif, sur les différentes, dénonciations qui leur sont faites; et on cite un trait entr’autres qui doit do

Douze Brigands habillés en fardes natio

On est sans Crainte sur les E

L’achèvement de la Constitution, et la fête à laquelle cette circonstance à do

L’opinion publique y a infiniment gagné et l’espoir d’avoir bientôt des loix sages à exécuter accablent ceux qui crient à l’anarchie.

Les marchands d’argent sont plus impudents que jamais à la Bourse, où est le rassemblement considérable; on désireroit voir fondre sur eux en force, et on se persuade qu’on n’y trouverait pas un bon sujet.

Les Louis se payent 100 l.

XII

Нац. арх.

(1792 г.)

С. 153, plaquette 277, pièce № 412.

Séance du 11 juillet au soir.

Envoyée à la commission Extraordinaire des Douze.

Pétition des ouvriers.

Messieurs de l’assemblée Nationale Lésgislateurs.

Nous venons en députation au nom de nos camarades, composant, quarante mille hommes tous travaillants dans les Bâtiments; nous venons déposer dans votre sein l’affliction que nous éprouvons, de voir que M. Pe-tion, et le Procureur de la commune, sont toujours suspendus de leurs fonctions. Depuis le malheureux jour ou le Département s’est permis de l’interdir, tous les âmes ho

*21

Начиная с этого места, рукопись становится особенно неразборчива (явные пропуски, брошенные на полуслове фразы и т. д.).