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Homo proponit, et deus disponit[339]. Я склонен, однако, думать, что Боженька не вмешивается во все пустые помыслы человека, такие, как празднества, увеселения и проч., проч., и что он создал специально для этого провидение, почти всегда готовое помешать удовольствиям и радостям, на которые надеется человек.

Вчерашнее утро было очень дождливым, небо почти не прояснялось. Я поздравил княжну Натали в кабинете у ее отца в 9 часов утра. Около часа дня я пошел к княгине; на террасе я нахожу молодую княжну и спрашиваю, сможет ли г-жа ее любезная матушка принять мои поздравления и свидетельства глубокого почтения. Она входит к ней, вновь появляется и говорит, что меня с радостью ждут, — то, на что я вовсе не рассчитывал, зная, что накануне княгиня была постоянно занята Алексеем и его очаровательной супругой, а это не должно было расположить ее в мою пользу. Тем более я был удивлен ласковым приемом, который она мне оказала; она разговаривала со мной более получаса с милой улыбкой, которая ей не всегда свойственна. После множества шуток, которыми мы обменялись с княгиней и еще одним присутствующим лицом, которым была княжна Натали — ибо мы были втроем, — я попрощался с ними и вернулся к себе, чтобы переодеться и привести себя в порядок.

Dix sept jours sans vous voir, Madame! Jugez donc si mon pauvre c œur devrait être déchiré. Mille fois j’étais sur le point d’aller me précipiter, voler à vos pieds, mais un génie e

Ne croyez pas cependant, Madame, que cette cruelle absence e ût dimi-nué, affaibli les sentiments dont mon âme pour vous est remplie! Eloigné de vous, peut-être oublié, effacé de votre souvenir, mes plus chères pensées, cel-les que je caressais le plus dans mon imagination vous furent toujours con-sacrées; je ne vivais, ne respirais que dans l’avenir, que dans l’èspérance de pouvoir un jour vous les transmettre. Eloigné de vous, j’étais sans cesse en-touré de votre image; je ne lisais que les ouvrages dont nous avons parlé ensemble, que ceux que vous avez eu la bonté de me prêter. Je suis devenu plus dévot, je prie le bon Dieu avec fureur deux fois par jour et c’est afin de pouvoir redire plus souvent votre nom que j ’ai placé dans mes prières. Vous pouvez bien deviner que votre image est alors l’ange tutelaire qui volage autour de ma <нрзб.> et si je desirais voir celui qu e le bon Dieu m’avait do

Helas! qu ’elle est triste, cette réalité que je vois autour de moi lorsque j’ose descendre sur la terre après avoir quitté ces belles régions des illusions où mon imagination m’emporte! Je me vois seul, dans le désert, les beautés de la nature ne font sur moi aucune impression et celui de l’art moins encore.

Je vous ai dit une fois, Madame, que j ’ai souvent des idées qui parais-sent n’avoir pas le sens commun. Ici, loin de vous, c’est encore pire. Voici quelques une de ces aberrations d’une imagination effrénée qui cherche à tra-vailler dans l’absence d’une réalité plus douce. Je fais des reproches à la nature, à ma malheureuse étoile non pas déjà de ne m’avoir pas fait beau et bien-fait, mais de ne m’avoir pas créé laid et difforme. En voilà la raison: vous se-riez d’abord rebutée par mon extérieur, puis vous auriez comparé vos perfections avec ma difformité, vous auriez été frappée par le contraste, vous auriez dit: pourquoi cet être est-il si laid tandis que je suis si belle? pourquoi doit-il rebuter tout le monde tandis que j’attire… et vous m’auriez plaint: et dans la plainte de vous est encore un bonheur plus grand du moins que de vous être tout-à-fait indifférent… Vous auriez peut-être voulu me consoler mon triste sort et ce serait déjà une jouissance!.. Ah! veuillez me consoler de aussi d’une similitude de l’espérance, veuillez pénétrer dans le fond de mon cœur, y lire l’amour qu’il vous porte et alléger le poids qui le pèse! Mes souffrances deviendraient autant de félicités à proportion que vous daignerez croire à la sinc érité de mes sentiments, de ces <нрзб.> que je ne saurais mieux peindre qu’en répé tant sans cesse



Me voil à rapproché des lieux que vous habitez. Madame! j’ai quitté la brillante campagne pour me réinstaller de nouveaux sous l’humble toit qui me sert d’abri à Petersbourg. Que de plaisirs, que de dissipations me promettait le séjour de la ville! Mes amis, Schydlowski et Toumansky sont de retour, St. Thomas est là pour me conter ses aventures d’Italie et d’Espagne, pour me rappeler sa belle patrie et de me ta

Votre opinion, Madame, doit être en toutes choses la boussole de la mie

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Человек предполагает, а бог располагает (лат.).