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Und jetzt schreibe ich kein Wort mehr.[6]
Прощайте, мой друг.
«Что касается моего здоровья», — речь идет о его здоровье, — «то меня мучает ге-рой, говоря сокращенно, дабы не спугнуть моей руки, которая уже выходит из себя и топочет ногами. Так что, прощай» — и я повторяю: прощайте. Н. Т.
Нессельроде К. В., 22 октября/3 ноября 1835
Munich. Ce 3 novembre 1835
Monsieur le Comte,
Après avoir longtemps hésité, je prends le parti de m’adresser directement à Votre Excellence. Je ne me dissimule pas ce que cette démarche peut avoir de hasardé. Mais je me trompe fort, ou c’est précisément cela qui servira à l’excuser à ses yeux. Votre Excellence comprendra aisément que pour m’y déterminer, il ne fallait pas moins qu’une absolue nécessité d’une part et de l’autre une confiance absolue dans l’équité bienveillante de son caractère. C’est cette équité que j’invoque maintenant comme le meilleur et le plus sûr intercesseur que je puisse avoir auprès d’elle.
Je tâcherai d’être aussi concis que possible.
Monsieur le Comte, j’ai à peine l’ho
Dans l’entrevue que vous m’avez fait l’ho
Voici à peu près ce que j’ai à dire en faveur de cette demande. Et d’abord, je me garderai bien de rappeler ici qu’il y a 13 ans que je sers à cette mission. Je sais que la durée du temps et la succession des a
Je ne me réclamerai pas même des témoignages favorables que l’obligeance des chefs de la mission, où je sers, a bien voulu, à plusieurs reprises, m’accorder auprès de Votre Excellence. Ces témoignages peuvent être l’expression d’une bienveillance toute perso
Mais il y a d’autres circonstances que j’invoquerai plus volontiers à l’appui de ma demande.
Ainsi, p ex, qu’il me soit permis de faire observer à Votre Excellence que depuis 7 ans, c’est-à-dire, depuis le départ du Comte Woronzow, c’est moi qui ai été chargé, en très grande partie, de la correspondance politique que les chefs de mission qui, depuis ce temps-là, se sont succédé au poste de Munich ont eu l’ho
Et maintenant, Monsieur le Comte, me serait-il permis de vous expliquer pourquoi je sollicite la vacance du poste de Mr Krüdener de préférence à toute autre? Oserai-je avouer à Votre Excellence que je ne puis mettre à profit les bienveillantes dispositions qu’elle a daigné me témoigner qu’à la condition d’obtenir précisément la faveur que je réclame.
Il y a des aveux auxquels la rigueur même des circonstances ne saurait nous contraindre, si la noblesse d’âme de celui qui les reçoit ne venait à notre secours. C’est de cette nature que sont les considérations que j’ai à faire valoir en ce moment.
Bien que destiné à avoir, un jour, une fortune indépendante, je me trouve, depuis des a
Or j’ai eu l’ho
D’ailleurs, s’il y a un pays où je puisse me flatter d’être de quelque utilité pour le service, c’est assurément celui-ci. La co
J’ai l’ho
T. Tutchef
Мюнхен. 3 ноября 1835
Милостивый государь граф,
После долгих колебаний я решился обратиться прямо к вашему сиятельству. Признаю, что мой поступок может показаться дерзким. Но я полагаю, что именно это обстоятельство может послужить к моему оправданию в ваших глазах. Ваше сиятельство легко поймете, что решиться на подобный шаг меня вынуждают, с одной стороны, крайняя необходимость, а с другой — полное доверие к вашему великодушию и справедливости. К сей справедливости я теперь взываю как к лучшей и самой верной заступнице, какую я мог бы иметь перед вашим сиятельством.
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Довольно, больше не напишу ни слова (нем.)