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Anton, voisin de la cour du bonheur -
Toute la journée au lac, à neuf - à la maison...
Qui a volé mon temps ?
Et autour - tout est devenu gris soudainement ...
Où est passée la brise
Sable de mer,
Véranda avec des raisins et que
Baiser avec une grêle d'émotions -
J'ai besoin de revenir !
je veux rester
Où il n'y a pas de larmes
Et où avons-nous ri -
Sous une rafale d'orages d'été...
Dire
vos rêves,
Partagez vos rêves avec moi...
Être soi-même
Et ouvert
Dans l'enfance, la porte - aux souvenirs ...
Je rêve souvent de silence ! ..
Elle est une
Errant dans les cours
De la mémoire des perdus !
Et puis il semble
Quel est le problème même
Pas dans des immeubles de cinq étages non peints !
Nous sommes plus vieux...
Au-dessus sur les brasses du toit
Ces châteaux de rêves -
Leurs tours...
Si désagréable de plus près
Tellement froid avec nous...
Et des rêves
Arrête d'être coloré
Et ils sentent l'acier !
J'aimerais savoir comment les quitter...
Où
Pour asseoir nos paupières?
Où sont ces Ermitages ?..
Et où est l'ami Micha ?
Et qui est maintenant
Parlez de Tsoi
Et son dégel ?
Boules de grand-mères potins
Avec sacs à cordes
L'immortel "Peut-être" est à nous,
La chemise de Kostya est non remplaçable,
De la Turquie
queue de cheval emmêlée de blagues,
Les premières bouffées
Camio
Sentir l'anticipation d'un miracle
Son accomplissement est froid -
de quelque part
De la pile de l'inco
De l'enfance,
Laisse-moi regarder!..
Les cieux sont d'encre
La poussière des étoiles appelle
Prendre la fuite
Mystère des rêves
D'une inévitabilité absolue
Sentiments mitigés du passé...
Et le temps est peu susceptible de changer
Ces taches d'aspirations -
Embrassez l'immensité
un priso
Alors ne devenez pas en dehors de cela -
Des adultes traîtres
Égoïste...
Et il y a donc un sens -
A la recherche de sens...
Dire
vos rêves,
Partagez vos rêves avec moi...
Être soi-même
Et ouvert
Dans l'enfance, la porte - aux souvenirs ...
Dire
vos rêves,
Partagez vos rêves avec moi...
Être soi-même
Et ouvert
Dans l'enfance, la porte - aux souvenirs
Le garçon a chanté avec plaisir, malgré le fait qu'il devait en même temps pousser une roue lourde, comme un âne de bât. Et c'était son travail sérieux et très productif.
La fille vicomtesse frappa son petit pied nu pour la énième fois et pépia :
- Fabuleux! Vous mangez très bien ! L'Ermitage est-il beau à Londres ?
Gulliver répondit avec un sourire, en gonflant ses joues roses, magnifiques et enfantines :
- A Londres, l'Ermitage est le meilleur et le plus riche du monde !
La fille gloussa et frappa à nouveau le garçon avec grand plaisir avec un fouet. Il avait une bande rouge sur son corps nu.
La Vicomtesse demanda avec un sourire :
- Aimez-vous?
Le garçon hocha la tête et gémit.
" Peut-être chanterais-tu mieux que battre un enfant ?!
La fille hocha la tête, et de nouveau son pied nu, bronzé et gracieux frappa :
- C'est super et je vais chanter !
Gulliver a tweeté :
- Chante une fleur, n'aie pas honte !
La vicomtesse, sautillant, se mit à danser, à chanter ;
J'ai roulé jusqu'à l'enfance
Ne me suivez pas.
Je vois que tout le monde ici s'amuse, la guerre.
juste pour elle
Juste pour toi
guerre.
Pas de place pour les enfants ici
Pour les adultes - combattez.
Reste avec elle
Ne me suivez pas.
juste pour elle
Juste pour toi
guerre.
Et là c'est bon
Là, je m'assieds sur le pot.
Et là c'est bon
Là, je m'assieds sur le pot.
Il n'y a pas besoin d'argent :
Cirque et sucettes
Il y a un rivage laiteux
Chevaux par la cravate
juste pour moi
juste pour le cheval
Mener.
Pastila, balançoire,
noeuds blancs,
biscuit sucré,
Les rêves de maman.
juste pour elle
Juste pour moi
Ils arrivent.
Et je me sens bien
Là, je m'assieds sur le pot.
Et je me sens bien
Là, je m'assieds sur le pot.